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Dévoiler les conspirations et le paranormal !

L'empereur Sélim premier et les Médicis responsables de la destruction du monde musulman?

L'empereur Sélim premier et les Médicis responsables de la destruction du monde musulman?

 Les Médicis banquiers vénitiens proches du Vatican ont gouverné la banque de l'empire ottoman le Khalifa ils étaient un peu comme les Rothschilds de notre époque.

    Les empereurs ottomans ont interdit l'imprimerie dans tout l'empire ottoman donc dans tous les pays musulmans.ils ont interdit la science et ramené le monde musulman à l'âge de pierre.Les sultans Bajazet II en 1483, et Selim Ier en 1515 ont ainsi détruit l'empire ottoman. Achmet III (1727) autorisa à nouveau l'imprimerie mais le mal avait déjà été fait pendant que l'Europe connaissait la période de la renaissance le monde islamique lui connaissait un retour aux ténèbres.

 

   L'imprimerie était une bénédiction pour le monde musulman, qui disposait subitement de modes efficaces de reproduction et de diffusion des saintes Écritures. Pourtant l’Empire ottoman a interdit l’impression du coran pendant presque 400 ans. En 1515, le sultan Sélim Ier aurait décrété que « faire de la science de l’imprimerie son occupation première était passible d’une peine de mort ».

 La Banque impériale ottomane 


L’exemple de la banque Ottomane à lui seul démontre que les banques centrales existent non pas pour les intérêts de la nation dont il porte le nom en général, mais à l’affaiblir par l’endettement, comment expliquez l’ouverture de l’agence marseillaise de cette banque en 1916, alors que les Ottomans étaient en guerre avec la France ? 
La naissance de la Banque impériale ottomane fut l'aboutissement d'un contrat exécuté le 4 février 1863. Le contrat, conclu par les actionnaires de l'Ottoman Bank fondé en 1856 avec le capital britannique, les associés français nouvellement incorporés et le Gouvernement ottoman, fut immédiatement ratifié par le Sultan Abdulaziz, décidé à mettre fin à la crise financière qui sévissait dans tout l'Empire depuis la Guerre de Crimée. Ainsi la Banque impériale ottomane, qui se chargeait de l'héritage légué par l'Ottoman Bank, commençait à rendre ses services dans le secteur bancaire le 1er juin 1863. 
Les ottomans connaissaient le danger de ce système, pourtant ils ont fini par céder en espérant trouver le salut dans des promesses occidentales qui ne seront jamais tenues. 

Nasr Eddine Boutammina, Docteur en sciences biologiques et médicales, auteur prolifiques de nombreux ouvrages traitant de la falsification de l’histoire des sciences en général, et de l’histoire de la Renaissance en Europe.

Il remet en cause l’existence même des savants classiques grecs qui selon lui ont été inventés au moyen âge et lors de la Renaissance afin de d’occulter les racines musulmanes des sciences que les européens ont prétendument initiés.Les grecs n'avaient ni papier ni imprimerie et il n'existe nul trace archéologique de leur livres que cela soit Pythagore Platon ou bien d'autre comme Archimède ou Hippocrate .Les Médicis ont comploté avec le Vatican pour interdire la science et l'imprimerie dans les pays musulmans et ont organisé le plagiat des livres musulmans pour les attribuer à des grecs ou des européens.

Sa démarche s’inscrit dans ce qu’il nomme le « Rétablisme » une notion qui se veut remettre en cause l’histoire à l’aune des arguments scientifiques.

 Ainsi le mot Bible ne vient pas du nom Biblios une ville mythique grecque abritant une immense bibliothèque mais en arabe Bible est la porte de Dieu comme Babylone ou la tour de babel autrefois les anciens appelaient Allah il ou el ce qui a donné des prénom comme Israel ou Gabriel ou Mikael.

 Le serment d'Hippocrate serait en fait celui de Ibn Sina ou Avicenne auteur du canon médical qui a servi pendant 500 ans à former des médecins européens.Par exemple en regardant Wikipedia on y apprend que le raffinage de pétrole a été crée par des occidentaux ce qui est complètement faux.Car le raffinage de pétrole a existé bien avant l'islam en Mésopotamie et en Egypte et ailleurs.Les égyptiens se soignaient avec du pétrole et momifiaient leur morts avec du goudron ou du pétrole.Enfin l'éclairage public existait bien avant l'islam mais les rues des villes andalouses de l'Espagne musulmane étaient éclairées bien avant celles de Londres.  

Les travaux de médecine de Galien et Paul d'Egine qui trouvèrent éventuellement écho en Europe, ne furent par exemple, que le fruit du travail de traduction et de perfectionnement des Arabes, en particulier ceux d'Al-Razi (Rhazès), auteur d'Al Hawi, une œuvre médicale majeure. Les Juifs qui vivaient en harmonie dans l'Andalousie musulmane et qui durent ensuite fuir la répression de la Reconquista espagnole emportèrent avec eux ce savoir médical, qui contribua ensuite au développement des études de la médecine dans des villes comme Montpellier en France, Bologne en Italie et bien d'autres à travers l'Europe.

En outre, le plagiat en vogue aujourd'hui, était déjà d'actualité à l'ère de la Renaissance. 'Le discours de la méthode' de René Descartes ressemble à s'y méprendre à 'Erreur et délivrance' d'Al-Ghazali, alors que les travaux de Copernic qui furent précédées par ceux d'Al-Batruji, ressemblent énormément à ceux d'Al-Tusi et d'Ibn Al Shatir. Rien ne distingue aussi la pensée du théologien et philosophe italien, Thomas d'Aquin (1224-1274) de celles d'Al-Ghazali et d'Ibn Rushd.

 Le mot atome itim en arabe signifie orphelin en arabe.Enfin atomiser en arabe hatam signifie détruire atomiser ou désintégrer ce qui prouve que les physiciens musulmans connaissaient l'existence des atomes et la théorie du Big Bang ou la non existence du temps car tout cela est évoqué dans le saint coran.Beaucoup de physicien atomistes italiens sont d'origine sicilienne un monde proche du monde arabe.Enfin Albert Einstein aurait vécu en italie et aurait eu un traducteur arabe pour lui traduire certains documents antiques.

Le Moyen Âge a attribué à tort à Jâbir, dès lors appelé Geber latin ou Pseudo-Geber, des ouvrages d'alchimie qui sont apocryphes. Marcelin Berthelot a démontré que les ouvrages latins de Geber ne pouvaient venir que de Jâbir ibn Hayyân mais dataient de la fin du xiiie siècle, car ils décrivent des substances chimiques, surtout des acides minéraux, et des procédés de chimie inconnus des Arabes et qui relèvent de la fin du xiiie siècle (La chimie au Moyen Âge, p. 336-350).

Le plus illustre de ces livres d'alchimie est La somme de perfection (Summa perfectionis) (vers 1260)18. Selon William R. Newman, ce traité pourrait avoir été écrit vers 1260 par Paul de Tarente, un franciscain auteur d'autres ouvrages sur l'alchimie.

Il existe, au moins, une autre hypothèse. Une autre tradition propose[réf. souhaitée] al Jābir, al Djāber, voire al Jarbi, un alchimiste mudéjar de la péninsule ibérique connu sous le nom de Geber. Il n'en est pas moins vrai qu'il continue de 1310 à 1360 les travaux des maîtres arabo-persans. Ses trois livres surtout connus en latin puis publiés en langue véhiculaire au xviie siècle sont :

  • Summa perfectionis magisterii soit Le testament
  • Liber fornacum soit Le livre des fourneaux (ou appareils de laboratoire)
  • De investigatione perfectionis soit La recherche de perfection
  • De inventione veritatis soit L'invention de la vérité

Notons que le mathématicien et géomètre Abou-Mohammed Djabir ibn Allah, dit Geber de Séville, vivant dans la seconde moitié du xie siècle, est l'auteur d'un volumineux traité sur l'astronomie, traduit par Gérard de Crémone. Mais il ne peut être confondu avec les autres.

Jâbir a écrit plus de cent traités sur des sujets variés, dont 22 concernent l'alchimie. Fermement bâtis sur des observations expérimentales, ses livres donnent une systématisation des procédés chimiques fondamentaux utilisés par les alchimistes, tels que la cristallisation, la distillation, la calcination, la sublimation et l'évaporation. Ils constituent donc un grand pas dans la transformation de la chimie d'un art occulte en une discipline scientifique. En particulier, Jâbir devine que des quantités finies de différentes substances sont mises en œuvre au cours des réactions chimiques, devançant ainsi de presque un millénaire les principes de la chimie moderne et notamment de la loi des proportions définies découverte par Joseph Louis Proust en 1794.[réf. souhaitée]

On lui attribue également l'invention et le développement de plusieurs équipements de laboratoire toujours en usage à l'heure actuelle. Héritier des alchimistes gréco-égyptiens comme Zosime de Panopolis, il utilisa l'alambic, qui lui permit d'effectuer des distillations de manière plus sûre, plus aisée et plus efficace. En distillant des sels en présence d'acide sulfurique, Jâbir découvrit l'acide chlorhydrique (à partir de chlorure de sodium) et l'acide nitrique (à partir de salpêtre). En mélangeant les deux, il inventa l'eau régale, qui est l'un des seuls réactifs chimiques qui permette de dissoudre l'or. Au-delà de ses applications pour l'extraction et la purification de l'or, cette invention fit à la fois le bonheur et le désespoir des alchimistes pendant le millénaire suivant. On lui attribue également la découverte de l'acide citrique (à la base de l'acidité du citron), de l'acide acétique (à partir de vinaigre) et de l'acide tartrique (à partir de résidus de vinification).

Jâbir appliqua ses connaissances à l'amélioration de nombreux procédés de fabrication, parmi lesquels la fabrication de l'acier et de divers métaux, la prévention de la rouille, la dorure, la teinture des vêtements, la tannage du cuir, ainsi que l'analyse de pigments. Il développa l'utilisation du dioxyde de manganèse (MnO2) dans la fabrication du verre afin de compenser les teintes vertes produites par le fer, procédé encore employé de nos jours. Il remarqua que l'ébullition du vin produit une vapeur inflammable, ouvrant ainsi la voie à la découverte de l'éthanol par Al-Razi.

Il proposa également une nomenclature des substances, qui peut être vue comme posant les bases de la classification des éléments moderne. Il proposa de séparer les substances en trois catégories : « esprits », qui se vaporisent sous l'effet de la chaleur comme le camphre, l'arsenic ou le chlorure d'ammonium ; les « métaux » comme l'or, le plomb, le cuivreet le fer ; et les « pierres » qui peuvent être broyées sous forme de poudre.

Au cours du Moyen Âge, ses traités d'alchimie furent traduits en latin et devinrent les textes de référence des alchimistes européens. Parmi ceux-ci on peut citer le Kitab al-Kimya(« Livre de la composition de l'alchimie »), traduit par Robert de Chester en 1144, et le Kitab al-Sab'een (« Les 70 livres »), traduit par Gérard de Crémone (avant 1187). Berthelottraduisit certains de ses livres connus sous les titres de « Livre du Royaume », « Livre de l'Equilibre », « Livre de Mercure Oriental ». Certains termes techniques introduits par Jâbir passèrent dans les langues européennes et devinrent des mots courants du vocabulaire scientifique, comme al kali (alcalin).

Jâbir devint alchimiste à la cour du calife Haroun al-Rashid. Son intérêt pour l'alchimie fut très inspiré par son maître Ja'far al-Sadiq, qui était un homme très instruit et l'une des plus hautes autorités dans le domaine des sciences ésotériques. Jâbir fut lui-même surnommé « al-Sufa », ce qui indique qu'il appartenait à une branche mystique et ascétique de l'Islam. Il écrivit le Kitab al-Zuhra (« Livre de Vénus », le Noble art de l'alchimie) pour Haroun al-Rashid. Il écrit dans son « Livre des Pierres » que « le but est de désarçonner et d'induire en erreur tous sauf ceux aimés de Dieu et qu'il destine au savoir. » Ses travaux étaient délibérément écrits suivant un code ésotérique, de manière que seuls ceux ayant été initiés dans son école d'alchimie puissent les comprendre. Il est donc très difficile pour le lecteur moderne de discerner quels aspects de ses écrits doivent être compris comme des symboles (et d'en démêler la signification) et lesquels peuvent être compris littéralement.

La liste des savants arabo-musulmans n'est nullement exhaustive et pourrait ici inclure des hommes tels que le grand voyageur Ibn Batuta, Ibn Sina (Avicenne), Hayy Ibn Yazan ou Ibn Tufayl qui tous influencèrent d'une manière ou d'une autre Voltaire, John Locke, Kant, Da Vinci, Rousseau et bien d'autres penseurs et scientifiques européens.

Une approche, validée par de nombreux scientifiques, au fil des siécles, à intégrer dans notre vision du monde, afin de se rapprocher encore un peu plus de « la réalité »de notre histoire.

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