Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Conspirations,revelations,paranormal.over-blog.com

Dévoiler les conspirations et le paranormal !

Les enfants algériens privés de bananes et chocolat pendant que les dirigeants se goinfrent de caviar et whisky en Suisse !

20170728210542173113

 

 

 

 

Vous nous coûtez trop cher ainsi un faux papier médecin marocain à parlé à un enfant algérien dans un hôpital public algérien ! Selon lui le fait d'importer des médicaments pour sauver les vies des enfants algériens coûte trop cher aux voleurs marocains qui squattent le pouvoir depuis 1961 en Algérie et le départ des français qui n'as été définitif qu'en 1978 ou 1982 le clan d'oujda crée par Degaulles et Rothschild !

 

  Ainsi pour faire des économies le gouvernement d'occupation des goumiers marocains et leur régent Bajolet a décidé d'interdir l'importation de plus de 1000 produits et ce du jour au lendemain! Bien entendu les haut gradés de l'armée ne sont pas concernés par ces restrictions eux peuvent importer ce qu'ils veulent même des containers de 35 tonnes de cocaîne ou des bananes au frais du peuple algérien ou encore de la viande hollandaise non égorgée et laique et pleine d'hormones et antibiotiques !

 

 

Une fille de général ou de ministre aurait dit : "papa vous dirige et vous gère comme du bétail, moi je bois votre sang en whisky et brûle votre argent dans tous les cabarets et palaces du monde…" Saïd n’en pense pas moins, lui qui a crié publiquement dans une grande brasserie parisienne : "L’Etat algérien, c’est moi !C'est vrai il était comme d'habitude pour oublier les sévices sexuels qu'il a subit étant jeune de la part des péres blancs et jésuites" Sûrement inspiré par la boutade bien connue de son frère aîné, dix ans auparavant, s’esclaffant en public pour dire le verbe haut, à la Louis XIV, sans gêne aucune ni retenue "L’Algérie, c’est moi !" Pour dire aussi avec mépris : "celui qui paye l’orchestre, commande la musique… " Avec l’argent du contribuable ! Quel culot, quel aplomb ! Normal aussi qu’il – Bouteflika - s’autoproclamera quelques jours plus tard rédacteur en chef de l’APS, débuts des premières dérives messianiques et autocratiques à la Caligula. Sauf qu’il n’avait pas de cheval à nommer sénateur, juste un âne bâté à nommer SG du FLN. De Saadani le drabki, amuseur occasionnel de bordels, il en fera aussi sa chose et son président des comités de soutiens et, accessoirement, secrétaire général du FLN. Devenu entre temps, par la rapine et les saintes écritures, un gros personnage qui mettra moins de temps que tous les hominidés des ères passées à passer de la position animalière couchée à la position debout de bipède agile. En Homo sapien moderne et intelligent il a vite appris à voler et placer 300 millions d’euros, acheter des biens immobiliers à Paris et se faire délivrer une carte de séjour de dix ans en France pour lui et les siens ! Avouons tout de même que la fréquentation des Bouteflika est un peu plus rentable que le difficile métier de drabki ! Il est pénible pour lui de se voir accusé ouvertement de grand voleur pour avoir détourné 3000 Mds de la GCA de l’agriculture algérienne. Il n’a pas volé jure-t-il par tous les saints de Gafsa et d’El-Oued. Il n’a fait que fréquenter les Bouteflika ! Gros pléonasme. Car, comment ne pas voler quand on fréquente les Bouteflika’$ ? Donc le drebko-danseur a bien raison quand il affirme ne pas être un grand voleur. C’est juste uns sous-traitant occasionnel des Bouteflika’$ ; ce qui est pire. Quant à la danse du ventre ou son tube porno de « Taht Echabek Ghemzetli » de sa prime jeunesse, il dit ne les avoir jamais pratiqués. Et les danses du ventre actuelles au clan Bouteflika ? Ça, il ne peut pas le nier, même l’ENTV peut en témoigner.

Qu’ont-ils fait des 800 Mds/$ encaissés en 15 ans de règne sans partage sauf à enrichir leur famille, les amis, le clan, les pègres locales soutenantes, les affidés, le Trésor américain, le FMI, les Bush, Cheney, les Rothschilds Sawaris et bien d’autres qui ont vidé, dépecé et désossé l’Algérie. Un vrai désastre que résument trois images affligeantes : Un jeune se jetant à la mer pour fuir le régime Bouteflika ; s’il ne finit pas dans le ventre des sardines, il sera jeté dans les geôles du pouvoir pour tentative de fuite du régime. 2ème image : un jeune père de famille, s’immolant à mort par le feu, photo de ses enfants collée au front, au motif que l’appartement qu’il attendait depuis dix ans a été attribué à une prostituée occasionnelle, n’habitant même pas la wilaya mais maîtresse du Mouhafedh FLN de la ville. Tout le monde viendra à son enterrement sauf le wali et le président d’APC ; deux gros corrompus amis et employeurs des pègres et mafias locales, ces grands réseaux locaux de $aïd. L’après midi de ce triste événement, l’APC, la daïra et la Kasma FLN seront saccagées et brûlées.

 

C’est dans cette seule logique qu’il faudra décoder et comprendre le soutien inconditionnel du Président Hollande au Sultan Bouteflika IV. Ce faisant, il s’inscrit dans la tradition historique des grands socialistes français (Léon Blum, Mendes France, Guy Mollet, Mitterrand …) qui ont toujours perçu le peuple algérien un peu mieux que des esclaves et bien moins que des citoyens libres. De Gaulle n’a-t-il pas fait massacrer plus de quarante mille Algériens en mai 1945 ? Ce même général n’est-il pas responsable du massacre de plus d’un million de civils algériens de 1958 à 1962 ? François Mitterrand n’est-il pas responsable et ordonnateur de dizaines de décapitations par guillotine sur des Algériens dont les seules fautes étaient la revendication des droits de leur peuple et de leur pays ?

 

Pendant que les Bouteflika finissent de ruiner le pays, les Chinois, effouadjen, Effouadjen, par vagues de milliers, construisent nos maisons, tracent nos routes et autoroutes, élèvent notre plus grande mosquée d’Afrique et notre seul opéra. Ils dessinent même les culottes et lingeries intimes de nos femmes. Seuls bilans connus du clan. Des aventuriers qui ont tout acheté, tout vendu, tout corrompu, tout pollué dans leurs razzias électorales; Un vrai hold-up électoral où moins de 20% d’Algériens ont voté sans choisir Bouteflika ; il recueillerait moins de 5% des suffrages réels exprimés. C’est la triste réalité des faits. Avec cette nullité avérée et vérifiable, les sponsors cachés du pouvoir comme leurs crieurs et hurleurs de rue, voyous et hooligans pour la plupart, grassement payés par les caisses noires de $aïd, crient victoire ! Victoire contre qui au fait ?

 

3e image : un jeune, gros et gras jeune flic, enserrant par le col un vieil homme malade et usé, pris en flagrant délit de pillage d’une poubelle. Il y cherchait avec les chiens et les rats, le repas des siens ; 12 personnes sans aucune ressource sauf les vendredis, quand la mosquée offre un maigre couscous. La routine des flics à Hydra. Il finira au poste de police.

Voilà comment Bouteflika en seulement 15 ans de dictature et d’abandons a transformé un peuple qui a reconstruit la France du plan Marshall, qui a dessiné les boulevards de l’Algérie Haussmannienne, percé des tunnels, tracé des routes et le rail, posé ponts et viaducs, inondé l’Europe de ses céréales, fruits et agrumes, producteurs des plus grands vins du monde, grands éleveurs aussi d’ovins et bovins qui nourrissaient l’Afrique et l’Europe, ont fait avec le mouton des Ouled Djellal, la prospérité de l’Australie et de la Nouvelle Zélande. 

Pour de nombreux démocrates algériens, François Hollande a poussé l’outrecuidance jusqu’à appeler son « ami » Bouteflika pour, officiellement, le soutenir et le féliciter pour sa «victoire» contre le peuple algérien. Normal ; la Françafrique de M. Hollande, depuis Jacques Foccart, depuis les barbouzes Bob Denard, Maurice Robert, Jean-Pierre Cot, Jean-Christophe Mitterrand, Bernard Kouchner, sous-traitants de Foccart et tous les autres gros bras d’ELF, du SDECE et de la DGSE, cette France là n’a pas vieilli d’une ride. Ils ont tous soutenu et accompagné les plus sales dictatures et les plus féroces dictateurs africains : Mobutu, Bango, Hassan II, Bokassa, Félix Houphouët-Boigny, Sassou N’Guesso et bien d’autres caudillos stagiaires africains. Dans la continuité de la pure tradition socialo-gaullienne, le Président Hollande a donc félicité le « Président gagnant algérien » contre son propre peuple, gagnant dont il connait parfaitement, par ses médecins du Val-de-Grâce, l’état d’incapacité de gouverner un pays ni même de gérer convenablement son pantalon.

 

Mais qu’importe, tant que la France, la Françafrique des bébés de Foccart, par ses soutiens aux régimes finissants, engrangera des millions et des milliards venant du clan algérien régnant, elle soutiendra toujours n’importe qui et n’importe quoi qui font du bien à la France. Après tout, le malheur de l’Algérie ne fait-il pas le bonheur de la France ? Quand Bouteflika, en moins de 15 ans, transforme un million de laboureurs et de semeurs en plantons, en vigiles, douaniers, gendarmes et policiers, trabendistes, dealers et proxénètes, ne fait-il pas le bonheur des céréaliers et des éleveurs français ? Les régions de la Beauce et de la Brie devraient ériger une stèle à la gloire de Bouteflika pour avoir enrichi la France en appauvrissant et en clochardisant son peuple.

 

 

 

   La France officielle soutient Bouteflika comme elle a fabriqué et soutenu hier l’Empereur Bokassa. Comme elle a fabriqué, installé et entretenu le sanguinaire Sese Seko Mobutu au Congo. Comme elle a créé, soutenu et armé la sécession du Biafra. Parce que la Françafrique du Président Hollande n’est en rien différente de celle de de Gaulle, de Pompidou, de Giscard, de Mitterrand, de Chirac, de Sarkozy. En quoi et sur quels détails cette politique africaine de la France a-t-elle changé ? En rien sauf que M. Hollande ne traite pas publiquement les Africains de singes et de bicots comme l’a fait avant lui son prédécesseur Sarkozy. L’islamisme aidant, la Françafrique s’est enrichi à l’excès d’une nouvelle sémantique égalitariste, protectrice et paternaliste afin de mieux conserver et d’étendre ses intérêts. Les grandes entreprises françaises sont en constante progression telle qu’elle apparait dans le rapport CIAN 2014. Le discours politique et médiatique français, d’inspiration et de connotations néocoloniales, s’est insidieusement aggravé par un discours moins grossier, lénifiant, paternaliste, charmeur qui cache mal des velléités d’envahissements et de pillages de richesses encore plus graves. C’est ce que, de toute évidence, lorgnent à présent les gros lobbys français en Algérie pour faire main basse sur le gaz de schiste, les gisements miniers du Hoggar (Uranium, or, cuivre, étain, tungstène) en plus des gros marchés déjà acquis (Transports, automobile, travaux publics, habitat, armée, hydraulique, santé, agriculture)

M. Mendes France, ce Juif de parents persécutés, qui avait toutes les raisons d’être le compagnon et le soutien de tous les damnés de la terre, d’être aussi le compagnon d’armes de ses frères algériens colonisés, avait-il le droit d’insulter des Hommes libres insurgés après sa déculottée à Dien Bien Phu ? Avait-il le droit d’insulter d’autres Juifs qui se battaient au côté de leurs frères Algériens ? Mitterrand, ce grand socialiste qu’il n’était pas avait-il le droit de faire monter la surenchère coloniale en déclarant : « La seule réponse à ces gens-là (les révolutionnaires algériens) c’est les armes»

 

 

En Europe comme en Algérie, tout le monde sait que le pouvoir de Bouteflika est impopulaire, décrié et isolé. Et pour cause ! Personne ne veut faire partie de ce conglomérat plus ramassis hétéroclite de vacataires que patchwork sans racines ni projet. Mus par la seule attraction de la ch’kara et du tiroir-caisse. Un rassemblement d’individus plus proche de l’association de malfaiteurs que de l’appellation forcée de gouvernement républicain. Personne de sérieux ne voulait que son nom ou celui de sa descendance soit altéré ou sali à jamais par une appartenance ou même une proximité à un régime pollué et malsain dont tous les Algériens et toute l’Algérie connaissent à présent les identités remarquables : corruption, pillage, fraudes électorales, mensonges, trahisons, concussion, népotisme,… etc… Le noyau dur du pouvoir (Présidence, Armée, Intérieur, Justice, Finances et Polices) comme rappelé plus haut restant toujours la chasse gardée du clan c'est-à-dire du Tlemcen pur beurre pour l’essentiel.

Parce que dans l’entendement général algérien, cabaret veut dire tout simplement bordel et rien de moins. Parce que dans ces sympathiques endroits, les spectacles suggérés se résument tout simplement à de riches commerces variés du sexe, des alcools frelatés, des drogues à ciel ouvert, l’exhibition des richesses à coup de millions de rechqateOu Hadhi fi khater…! Les riches toilettes parisiennes de haut standing des sulfureuses hôtesses d’accueil, les exhalaisons rotés des nouveaux riches du pouvoir, beggara pour la plupart, aisés petits douaniers, flics véreux - c’est un pléonasme - trabendistes, directeurs et sous-directeurs, divisionnaires, gros militants du trio présidentiel, courtiers présidentiels et marchands d’influence en tous genres.

C’est en ces endroits lugubres que se traitent et se négocient, entre mandants étatiques et mandatés escrocs de juteux marchés et de non moins juteuses chippa, le tout égayé par les charmes irrésistible de jeunes et jolies péripatéticiennes, champagne et whisky coulant à flot et sachets noirs en dessous de table comme première avance. C’est cela le cabaret algérien selon la définition bien comprise du sieur Ouyahia. Et on ne peut pas dire que le très honorable Mister Ouyaya, enfant assidu de la maison brûlée, lui et ses ouailles servantes, comme leurs employeurs communs, soient étrangers au développement exponentiel de la dépravation nationale et de la « bordélisation» massive de l’Algérie. Car le seul développement connu, les seuls résultats avérés, remarquables et remarqués à mettre à l’actif des gérants de l’Algérie de MM Bouteflika et Ouyahia, c’est le développement vertigineux des phénomènes qui font de l’Algérie, selon l’arrêt sans appel de M. Ouyahia, « le plus grand cabaret (c'est-à-dire bordel) du monde… » Comme disait le ministre des Finances d’Henri IV, Sully «labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » Bien plus que la France de Sully, l’Algérie actuelle, celle de M. Ouyahia se targue d’un patrimoine honteux de trois mamelles infécondes : corruption, prostitution et drogues sont les trois mamelles, les trois constantes, du régime de Bouteflika et de son employeur le DRS.

Première mamelle ; la prostitution

En moins de 20 ans, la population prostituée (femmes et hommes) est passée de quelques milliers à des centaines de milliers actuellement (sondage Institut Abassa 2008) Ce phénomène est dû principalement à la paupérisation des populations déshéritées, à la mise au chômage forcé de plus de six cent mille salariés du secteur public (décidée sur injonction du FMI) à la vente bradée des entreprises du secteur public, à la chute drastique du pouvoir d’achat, à la fermeture des centaines de maisons closes autorisées, à l’apparition de maisons de passe clandestines dans toutes les villes et villages d’Algérie. Ceci est la première conséquence directe de votre politique puisque voilà bientôt vingt ans que vous êtes au pouvoir, M. Ouyahia. Si l’Algérie est devenue le plus grand bordel du monde à ciel ouvert selon votre propre appréciation, c’est que vous en êtes, par votre politique, par votre ignorance, par votre entêtement les seuls responsables. Tout autant, on ne peut en exonérer vos chefs ni votre bande organisée moins en gouvernement responsable qu’en association de malfaiteurs décriée par tous les Algériens honnêtes, c'est-à-dire la majorité.

Deuxième mamelle, la drogue

En matière de drogue, en moins de 20 ans l’Algérie de Bouteflika, d’Ouyahia et de « Belle-Khadem » est passée d’un commerce de quelques grammes à des dizaines de tonnes circulant et s’écoulant presque librement dans toutes les régions d’Algérie sans compter les drogues fortes incontrôlables (héroïne, cocaïne et psychotropes) qui, durant ces dernières années, ont fait leur entrée dans les cabarets, les bordels informels de Chadli et de Boutef, dans les lycées, l’université et les grands hôtels de passe. Vous êtes, vous M. Ouyahia et vos chefs, seuls responsables de cet empoisonnement massif de la société algérienne par des tonnes de drogues entrés clandestinement par notre frontière ouest sous le regard bienveillant et sûrement intéressé des hauts responsables chargés de la surveillance de nos frontières. C’est cet abandon-là et cette connivence diabolique (rappelez-vous ce général trafiquant de drogue à Oran) qui ont fait de l’Algérie «le plus grand cabaret du monde ».

Comment donc M. Ouyahia a-t-il le toupet, l’outrecuidance et la désinvolture de déplorer aujourd’hui, un désastre, un incendie qu’il a lui-même allumé et entretenu à ce jour ? Car, et on ne le rappellera jamais assez, c’est l’incompétence et l’inanité avérées de M. Ouyahia (nous avons décidé et signé ; Kararna oua M’Dhina !) l’insouciance et la démission permanente du Président, la grivoiserie et la rapacité infinie des ministres prédateurs et laudateurs, le silence complaisant et/ou intéressé du DRS, qui sont les seules causes de cette transformation d’un peuple naguère digne, fier et debout en pays du « plus grand cabaret du monde » selon la toute dernière humeur de M. Ouyaya au pouvoir depuis plus de 20 ans si on devait lui compter ses catastrophiques missions diplomatiques. Et dire que ce monsieur là, avec Belkhadem et même le manufacturier de H’rouz, Abou Yedjri, postulent à la magistrature suprême sans le dire tout en le disant. C’est cela aussi «le plus grand cabaret du monde » duquel, on retiendra forcément, à l’invite différée et subséquente de l’appréciation du chef du gouvernement qu’on a précédemment qualifié d’association de malfaiteurs qui pense, sans ouvrir les guillemets, que l’Algérie est devenue, sous sa direction, « le plus grand bordel du monde » Et il a raison de le rappeler avec force. Pourquoi ? Parce que les grandes institutions de l’Etat-Cabaret, par lui et ses congénères tripotées, triturées et enfin fabriquées à coups d’urnes truquées sont la première démonstration de cet Etat-bordel, de cet Etat-voyou. Prenons juste deux exemples : L’APN et le Sénat. Oublions ministres, CNES, walis, DG et PDG ; on les traitera dans une autre approche.

 

L’APN

Qu’est-ce que cette assemblée si ce n’est majoritairement un groupement de danseuses du ventre dressées aussi par la panse pour dire invariablement « Oui» par les bras invariablement orientés dans la direction pénétrante des instruments corrupteurs du pouvoir. Ces oiseaux là, d’une espèce volatile rare, ont voté une loi et son contraire (loi sur les hydrocarbures du Texan algérien devant livrer l’Algérie au Texas) Ces mêmes oiseaux de députés ont voté l’amendement qui donne la présidence à vie au président actuel ; les voilà maintenant avec de nouvelles génuflexions, pencher vers une possible limitation des mandats présidentiels. Ces gens-là, ces députés là, ces oiseaux là, ces danseuses-là rentrent tous les soirs chez eux, regardent leurs enfants et leurs saintes épouses les yeux dans les yeux, sans rougir, sans se rappeler, qu’ils sont les premières catins d’une république putassière, les tout premiers figurants du « plus grand cabaret du monde » c'est-à-dire bordelier tel que présenté par notre célébrissime et stupide chef de gouvernement qui ne se suffit pas d’être suffisant ; il est tout simplement débile.

Il n’en a même pas conscience. Normal, les fortunes et les notoriétés mal acquises empêchent de penser. Quel député gavé et engraissé à la manière des oies de Navarre (300 000 DA/mois sans compter les avantages périphériques faramineux, des Zahia X. et des Omra gratuites à gogo) refuserait de se transformer en danseuse du ventre et bien plus si affinité tribale, régionale et religieuses ? C’est pourquoi, les danseuses du ventre du pouvoir et accessoirement députés, voteront, sans état d’âme, toutes les lois, toutes les couleuvres bouteflikiennes qu’on leur proposera. C’est cela et seulement cela la république putassière du « plus grand cabaret du monde » construite ci-devant par le prédateur en chef de l’Algérie officielle, Ouyaya, qui se gausse à présent à railler ce qu’il a lui-même fabriqué ; l’Algérie putassière et corrompue jusqu’à l’os, l’Algérie des millions de chômeurs, l’Algérie du million de prostituées, l’Algérie des Harraga mangés par les sardines, l’Algérie des dirigeants voleurs et voyous y compris leur grand chef, ses amis et sa famille dont toute l’Algérie connaît les frivolités et les sarcasmes avec les deniers et les moyens publics.

Troisième mamelle, la corruption

La corruption est la marque de fabrique première et le label caractéristique de ce pouvoir dont la plupart des dirigeants, président en tête, civils et militaires, sont trempés jusqu’à l’os. Nul besoin d’énumérer la longue liste des scandales de détournements et de malversation que la presse nationale étale à longueur d’année. Selon les estimations d’experts étrangers bien au fait de la corruption en Algérie (Sherpa et Transparency International) la prévarication coûterait entre 5 et 8 milliards/an à l’économie algérienne. Elle serait le fait principal de dirigeants d’entreprises publiques et de hauts responsables civils et militaires.

Cette corruption, comme la drogue et la prostitution, a connu une progression fulgurante. Dans les années soixante, la corruption s’exprimait en milliers de dinars. Aujourd’hui, elle s’exprime en milliers de milliards. Dans les années soixante, un citoyen indélicat a été fusillé pour avoir volé un million de DA (affaire SNTR) Aujourd’hui, sous la direction des hauts responsables du « plus grand cabaret du monde » un haut responsable porteur d’un mandat national, avoue publiquement dans un tribunal de la RADP qu’il a produit de faux documents pour favoriser le détournement de douze mille milliards de centimes au détriment d’une institution publique. Quelques jours plus tard, il est reçu et félicité par le président de la RADP. Bienvenue au club des ripoux ! On comprend pourquoi ces gens là ne quitteront jamais le pouvoir de leur propre gré ; au moins pour une raison : les placards de la Ripoublique sont si pleins, si puants, si sales qui leur faut absolument les maintenir fermés le plus longtemps possible. Car, pour bien moins que cela, des petites rapines de wali, l’ex président tunisien et sa légère épouse risquent le peloton d’exécution ou la pendaison. C’est pourquoi les hauts responsables de la RADP tremblent à l’idée de voir chuter les dictatures arabes. Parce que leur tour ne sera pas loin dans ce «plus grand cabaret du monde » Dès lors, on comprend bien pourquoi le chef du «plus grand cabaret du monde » se console si mal à croire tout seul que la situation algérienne n’a rien à voir avec les révolutions arabes. L’Algérie et les Algériens c’est une simple affaire de semoule et de sucre dit-il; une simple affaire de bouffe, hurle-t-il ! Vraiment ? C’est aussi une affaire du « plus grand cabaret du monde » dont les principaux dirigeants connus ne diffèrent en rien des voyous proxénètes.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article